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NIGER |
Population
: 14
000 000 habitants
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Monnaie
: Franc
CFA
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Superficie
:
2
fois la France
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Langue(s)
officielle(s)
: Français
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Densité
: 7.95
hab./km²
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Statut
: République
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Capitale
: Niamey
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Projection
2050 : 50
000 000 habitants
Parcours
du 29 mars au 8
avril 2006
Kilométrage
effectué au Niger
: 2050 km dont 120 de pistes
Peu de routes goudronnées au Niger, malgré les apparences.
Kilométrage
total
depuis le départ à la sortie du Niger : 23800 km
Quelques dates : en 1922, le Niger
devient colonie Française et prend son indépendance en
1960. En 1990 suites aux massacres de Touaregs, ces derniers entrent en
rébellion, et ce n'est que 5 ans plus tard, avec la signature
des
accords de paix que le calme reviendra.
Même si le Niger est 2 fois plus grand que la France, plus de la
moitié du territoire est désertique, ce qui en fait un
des pays les plus pauvres d'Afrique, 70% des habitants vivent avec
moins de 1 dollar par jour. La principale ressource est
l'élevage, l'or et l'uranium exploité conjointement avec
la
France. A cause de la sècheresse et de l'invasion des criquets
du
printemps 2004 qui ont ruiné les récoltes, les
organisations humanitaires sont intervenues pour éviter la
famine. Au vu de la croissance démographique, la situation
risque de devenir chronique.
Le pays est peuplé d'une dizaine d'ethnies, dont les
principales sont les Haoussas, les Touaregs, les Peuls, les
Djerma-Songhais .....
Seulement 8% des habitants sont raccordés
à l'électricité, 10% à l'eau,
21% des enfants sont scolarisés. L'espérance de vie est
de 46 ans. Ils pratiquent l'animisme et les religions musulmanes
et
chrétiennes.
Climat sahélien avec saison sèche d'octobre à juin
et
saison humide de juillet à septembre.
Jeudi 30 mars 2006
A Gaya, les formalités d'entrée dans le pays sont
expédiées en moins de 15 mn. Claude explique au douanier
où il faut tamponner le CDPD. N'ayant pas l'habitude, il
était prêt à nous envoyer faire les
formalités au prochain village. Rien à payer. Le CDPD
n'est pas obligatoire, mais conseillé. Certains ont eut des
difficultés à la sortie du territoire.
Dès la
traversée du fleuve, qui fait frontière avec le
Bénin, les paysages changent, et la végétation
luxuriante laisse la place à des arbustes secs
et rabougris.
Dans cette région,
les habitants
font la culture du mil (stocké dans les greniers),
l'élevage de maigres boeufs (sur
les panneaux, on a de la peine à les reconnaître) et la coupe de bois
destiné aux habitants de la capitale (Niamey).
Ce matin,
l'horizon est
complètement bouché à cause de l'harmattan, ce
vent chaud qui vient du désert. Il fait entre
40 et 45° à l'ombre, et dès l'on sort de la voiture
climatisée, on a l'impression de rentrer dans un four
à chaleur tournante ! ! Après 300 kms de bonne route
(sauf quelques trous avant Dosso) nous arrivons à Niamey et nous
rendons directement au Camping Touristique Municipal ( wpt N
13° 32 055 E 2° 04 664) dans l'espoir d'y rencontrer
des voyageurs en partance pour le Tchad. Mais le camping (le seul
de la ville) sale et sans eau, sauf pendant la nuit (travaux,
grève ou les 2 ?) fait que les touristes ne s'y attardent pas !
Dès vendredi
matin, nous allons à l'ambassade du
Tchad pour faire les visas. Après avoir rempli la fiche
habituelle, donné 3 photos et 15000 cfa (23 € par visa) le visa
nous est délivré immédiatement pour la
durée qu'on désire. Pendant les formalités, Claude
a eu le temps de jeter un oeil sur le cahier de demandes de visas ; 2
français une semaine avant
nous et un Ivoirien vers le 15 mars. Attention, l'ambassade du Tchad a
déménagé et se trouve maintenant près de la
Place de l'Unité (wpt : N 13° 31 038 E 2° 05 806 )
Le parking du
musée est idéalement
situé pour stationner dans la ville encombrée :
près du petit marché
où l'on
peut
acheter les fruits ; près du supermarché Haddad
où
l'on trouve tous les produits français.
On peut retirer du
liquide avec la carte Visa à la BIA
(banque), mais nous sommes obligés d'attendre l'ouverture
(grosse
coupure à midi) car il n'y a pas de guichet automatique, ici
ça fonctionne toujours au "fer à repasser". Nous prenons
aussi une assurance pour la traversée du
Niger (1 mois = 28 €) car la nôtre se termine le 31 mars. Juste
en face du musée, se trouve le centre franco-nigérien
avec connection Internet. Fonctionnement aléatoire,
mais après 3
tentatives, nous arrivons enfin à envoyer la mise à jour
Bénin. Le lendemain,
rien ne fonctionne !
Dimanche 2 avril
2006
Dès nos courses
faites, nous allons
bivouaquer à Kanazi,
au bord de fleuve
niger à
une quinzaine de kilomètres de la ville.
Ce matin, nous avons la
visite d'un
couple d'expatriés (ils travaillent pour des ONG) qui sont de la
Clusaz (Cavagnoud, ça vous dit quelque chose) et de St Jean de
Sixt. Ils louent une paillote au bord du fleuve pour y passer leur
week-end. Lorsque l'une d'elles dit s'appeler Laurie, Claude lui
dit
qu'elle doit s'appeler Barnier et qu'elle est née en
décembre 79 Ca lui en bouche un coin ! En
fait Claude et sa mère étaient ensemble à la
maternité, il y a 26 ans.
Suite aux gros orages du Togo qui ont mouillé nos draps, j'ai décidé
de faire
réaliser deux bâches
qui pourrons s'accrocher sur les
côtés en cas d'orages tropicaux que nous risquons
de subir au Cameroun et au Gabon.
J'ai bien trouvé un
artisan pour les coudre, mais comme il n'a ni perceuse, boulons pour fixer les attaches,
c'est moi qui m'y colle.
J'en profite pour
rajouter une petite gouttière sur
l'avant
de la cellule. Le plus difficile a été de trouver la cornière aluminium.
Ca nous a pris 2 matinées, et encore, avec l'aide des
locaux !
Entre temps j'aurai le temps de passer chez mon coiffeur
préféré. En progrès.
Lundi soir, nous
avons dormi à Niamey dans la cours d'un autre
couple d'expat, Pierrick et Fanny, que nous avons connu par
Internet (ils sont tombés sur notre site) et qui eux même
étaient des amis des savoyards. Nous nous sommes donc tous
retrouvés pour une soirée resto. Un grand merci pour leur
accueil.
Au concours du plus
grand nombre d'ONG,
le Niger devrait monter sur le podium, il y en aurait
plus de 24000 ! ce qui fait qu'à Niamey il y a de nombreux
expatriés, mais d'après les annonces du consulat de
France, il reste des places à prendre. Ces emplois
intéressent surtout des jeunes qualifiés qui veulent voir
du
pays
et vivre autrement. C'est vrai que la vie d'expat
peu faire rêver (surtout pour ceux qui travaillent pour de
grosses ONG), salaires confortables, grandes villas avec piscine,
gardien-jardinier,
ménagère-cuisinière-laveuse-repasseuse et pour
ceux qui ont de la chance d'avoir un 4X4 de fonction, petites
virées le week-end.
Mardi 4 avril
De retour à Niamey, nous faisons quelques courses et
quittons la ville que nous
avions déjà visitée il y a 4
ans lorsque nous avions fait le tour du sahel. Depuis, ça n'a
pas beaucoup changé.
Ici, 90% de la population est musulmane et les mosquées sont
nombreuses.
Nous prenons la route de
Zinder et faisons halte à Kouré où vit l'un des
derniers troupeaux
de girafes (135) d'Afrique
de l'ouest. Aprés avoir pris un guide au bureau, nous
partons à la recherche des girafes.
Malgré leur taille, il nous faudra rouler 3 heures dans
la savane à travers les buissons
et les champs de mil (coupés) avant d'en repérer un
troupeau d'une douzaine.
Ces élégantes bestioles qui mesurent entre 4,50 et 5,50
mètres de haut ne sont heureusement pas très farouches.
Nous reprenons la route par plus de 40° à l'ombre au milieu
d'une végétation rabougrie où vivent quelques
éleveurs Peuls et leurs troupeaux.
Cette année encore, à cause de la sècheresse, la
vie est difficile.
Après avoir roulé pendant 2 jours, nous faisons une halte
de 2 jours à Zinder avant d'attaquer les
700 kms restant pour
arriver à la frontière Tchadienne.
Fondée au 18ème
siècle par les
Haoussas, Zinder devint le centre d'un royaume avec
un Sultan,
qui,
bien que fatigué (on est quand même au 21ème
siècle)
règne toujours dans son palais gardé
par ces gardes rouges (et vert).
Le vieux quartier de Birni est
construit au
milieu d'énormes cailloux que les maisons doivent
parfois contourner.
On
découvre quelques demeures
de riches marchands aux décors
géométriques peints ou en relief de style
Haoussa.
Nous allons faire un tour au marché afin
d'acheter quelques fruits, mais à part des oignons et des tonnes
de mangues dont nous ne raffolons pas, il n'y a pas grand chose. Nous
achetons quand même des pommes, une noix de coco et quelques
bananes à moitié pourries, mais la route est longue
et il faut bien se nourrir.
Vendredi 7 avril 2006
A peine avons nous repris la route qu'à l'entrée d'un
village nous sommes obligés de nous arrêter en attendant
que les centaines de fidèles qui font
leur prière sur la nationale se dispersent.
Depuis la sortie de
Zinder nous avons retrouvé le désert
et les bivouacs
tranquilles entre dunes et roniers, où les nuits sont
agréablement fraîches.
Sur certains tronçons, la
route est tellement défoncée qu'il faut emprunter des
traces dans le sable. Si ce n'est pas un problème pour nous, il
n'en est pas de même pour les routiers qui
finissent par s'ensabler.
Celui ci est tellement planté, qu'il attend un
Caterpillar pour le sortir de là. Quelques panneaux le
long des routes sont franchement design !
Pratiquement toutes
les routes du Niger sont à péage, mais vu qu'on roule la
moitié du temps dans le sable, j'ai
demandé au préposé si on pouvait avoir une remise
de 50%, il n'était pas d'accord !
Nous
croisons de
nombreux Toys
surchargés de marchandises et de passagers. Avec la
visibilité qu'a le chauffeur, les secousses et la
gîte que prend le véhicule au passage des ornières
laissées par les camions, il doit bien manquer quelques
passagers à l'arrivée. Espérons qu'ils payent leur
place au départ, à l'arrivée il doit en
manquer quelques uns !
Après 4 jours de route et 1500 kms (depuis
Niamey) nous arrivons à Nguigmi où Claude effectue
les formalités (quelques minutes) pendant que je discute
avec le commissaire.
Pour info : la douane se trouve sur la droite
à l'entrée de la ville, la police à la sortie
à gauche au bout du goudron.
Après avoir complété notre plein de GO (avec des
jerrycans car les pompes sont gâtées), changé nos
Francs
cfa afrique de l'ouest contre des Francs cfa centre Afrique (
même valeur, change sans
commission à la douane, station service ....), il est
déjà tard aussi décidons-nous de bivouaquer devant
l'école face de la douane.
A partir d'ici, plus de goudron, (700 kms
jusqu'à Ndjaména). Il faut rentrer les points
GPS que nous ont donné la famille Doiteau qui est en train de
terminer son tour d'Afrique actuellement.
Avant de quitter l'Afrique de l'ouest pour l'Afrique
centrale, nos impressions.
Après ces 11 pays traversés, on s'aperçoit que
ceux qui ont une
façade maritime, donc des ports commerciaux sont
moins pauvres que les pays enclavés. Une exception tout de
même, pour la Guinée qui reste très pauvre
malgré ses nombreuses ressources, probablement à cause de
ses choix politiques (marxisme léniniste) au sortir de
l'indépendance. La chance ne venant jamais seule, ils sont aussi
beaucoup plus arrosés, ce qui leur permet de produire toutes
sortes de légumes et de fruits. Dans les pays tropicaux
comme la Guinée, le Ghana, le Togo et le Bénin, ils n'ont
qu'à s'allonger sur le sol en attendant que les fruits leur
tombent
dans la bouche. Par contre, dans les pays enclavés comme le Mali, le Burkina et le
Niger, situés
entre sahara et sahel la situation est assez désastreuse, les
seules ressources comme l'élevage et la culture sont soumis aux
aléas climatiques, et l'année passée a
été particulièrement sèche au sud du Niger.
Un paysan nous disait que seulement 10% des
récoltes étaient arrivées à maturité
à cause du manque d'eau !
Pour tous ces pays,
la
natalité
galopante et le manque
d'instruction, sont des problèmes récurrents. Pour le
Niger par exemple, une
projection montre qu'en 2050 il y aurait plus de 50
millions d'habitants (4 fois plus qu'aujourd'hui) alors que le pays est
loin de pouvoir nourrir sa population ! Concernant
l'éducation, ce n'est guère plus brillant ; combien de
fois me suis-je dit : " mais qu'est-ce qu'il est con celui là",
en fait ils sont comme tout le monde, mais leur manque de savoir,
d'idées et de rigueur fait qu'il est parfois difficile de les
comprendre.
Ce matin, nous avons entendu à RFI que la grippe aviaire
était arrivée depuis 2 mois dans la région
où nous sommes (Zinder) près du Nigéria, et que
pour le moment, les seules choses qu'ont faites les autorités,
ce sont des discours ; et ça, elles savent faire ! Plus fort, un
enseignant qui
était
interviewé par une journaliste clamait haut et fort que cette
"histoire de grippe" avait été crée par les blancs
pour leur faire abattre leurs volailles afin de créer de
nouveaux débouchés pour les pays occidentaux. Que peuvent
bien apprendre les rares enfants qui vont à l'école
avec des enseignants pareils ?
Dans ces 11 pays, nous ne
nous sommes jamais sentis en danger. Les populations sont plutôt
polies, accueillantes et sympathiques, (même les autorités
en général). Dans les villes, le plus
pénible, ce sont les mendiants d'Allah qui déambulent
avec leur air triste et leur gamelle, ainsi que les vendeurs qui
"s'acharnent" sur les quelques touristes de passage. Et puis
aussi, le fait de devoir négocier tous les achats : souvenirs,
campings, hôtels, fruits et légumes,
réparations,
etc.... et d'avoir l'impression de toujours se faire arnaquer parce
qu'on est blanc.
L'approvisionnement en GO ou en eau ne pose généralement
pas de problème à condition d'être un peu
prévoyant.
Le plus difficile
à gérer, se sont les poubelles,
car ici rien n'est prévu, même pas dans les villes (sauf
à Ouaga peut-être). Le plus simple est de les brûler
ou de
les
jeter où il y en a déjà, c'est à dire
partout.
Dans toutes les capitales, il existe 2 ou 3 supermarchés
(évidement ce n'est ni Auchan ou Carrefour) où l'on
trouve tout ce dont on a besoin, y compris de nombreux produits
d'importation (nutella, vins, pâtés....)
Nous avons eu très chaud dans tous les pays
traversés (sauf le Maroc, n'est ce pas les Vulpillat). Si
lorsque nous roulons ça ne nous dérange pas grâce
à la clim, il n'en est pas de même lorsque nous faisons
les courses ou des visites au beau milieu de la journée. Le soir
est le moment le plus pénible lorsqu'il fait encore 30° au
moment du coucher.
Bilan des équipements
véhicule : globalement, les
aménagements réalisés, tant sur le
véhicule
que sur la cellule se sont bien comportés, surtout depuis que
nous avons
amélioré la fixation de la cellule au Maroc.
Malgré le "gonflage" du moteur, la puissance (118 CV)
reste un peu juste au vu notre poids d'environ 2800 kgs. Par contre
absolument aucun problème mécanique.
Bien que les
amortisseurs arrières aient été
échangés contre des renforcés, le confort se
trouverait nettement amélioré en montant des
modèles à dureté réglable.
A revoir aussi le
compresseur d'air embarqué ; trop lent pour le soufflage
du
filtre et ou le gonflage des pneus.
Le filtre à air moteur d'origine est insuffisant, il serait
nécessaire de monter un "schnorkel" avec turbine intégrée.
Achat utile durant le voyage : radio ondes courtes pour écouter
RFI et fer à souder. Si c'était à refaire
j'emporterais aussi une perceuse sans fil, car dès qu'il
faut bricoler c'est vraiment la galère.
METEO : chaud et sec avec l'harmattan qui souffle assez souvent;
40/45° la journée, 29/30° le soir au moment du
coucher (à l'heure des poules) et 23/25° dans la nuit,
impeccable.
ARGENT : pas de distributeur automatique VISA, mais possibilité
de
retrait au guichet (fer à repasser) dans les banques BIA des 4/5
plus grandes villes. Commission fixe de 15 € par retrait plus autre
commission en France probablement !
Toujours Fcfa de l'Afrique de l'ouest.
Dépenses totales au Niger : 520 €
Quelques prix : pain : 0,25 € boissons : 0,45 €
pomme : 0,30 l'unité bananes : 0,60 /kg GO :
0,85/litre
INTERNET : plusieurs cybers à Niamey dont celui du centre
franco-nigerien, mais fonctionnement lent et aléatoire, .
Cybers aussi à Maradi, Zinder. Dans tous ces cybers
il est très difficile d'ouvrir des pièces jointes ;
0,85
l'heure.
SANTE : RAS. Peu de moustiques même au bord du fleuve.
MECANIQUE : RAS
BIVOUACS : libres
: 4 campements dans villa, hôtel,
camping : 6
Niamey : camping municipal, grand sale et cher ( 7 €
négocié à 5), mais le seul de la ville.
Maradi : camping possible au "mess militaire, campement touristique"
pas terrible, vraiment en dépannage. Au N 13° 28
790 E 7° 05 780 tourner à droite et faire
200m.
Zinder : grand camping sur la gauche à la sortie de la ville en
direction d'Agadez, peu d'ombre et sanitaires
dégueulasses
(un peu comme d'habitude) prix négocié à 5 €.
LES MOINS : On a beaucoup roulé, et certains tronçons
entre Niamey et Nguigmi sont très défoncés.
Internet déficient, même dans la capitale. Détritus
partout y compris dans les villes.
LES PLUS : Rencontres avec les expats à
Niamey. nos premières girafes. Population accueillante.
A bientôt au Tchad.
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