MOYEN ORIENT

 

Voir la page pratique

 

Ce voyage prévu sur 5 ou 6 mois devrait nous permettre de REvisiter :

 

 

- La Turquie (du sud)

 

 

- L'Irak

 

 

- Le Qatar

 

 

- Les Emirats Arabes Unis (UAE),

 

 

- Oman

 

 

- L'Arabie Saoudite...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mercredi 1er octobre 2025  Beau temps à Salin, 23°

 

Départ matinal en direction d'Ancône en Italie (900 kms) ou nous arrivons le lendemain vers 11heures. Achat des billets au port et ça tombe bien, un ferry Superfast part à 13h30 à destination d'Igouménitsa en Grèce.

Après 22h de navigation sans problème sur une mer pourtant démontée - peu de prise sur ces ferry modernes de 200 m de long qui filent à 29 nœuds (54 km/h).

 

 

 

 

GRECE

 

Nous débarquons  à Igouménitsa sous un ciel chargé et prenons "la chère" autoroute jusqu'à Asprovalta, puis poursuivons par la belle route côtière. 

 

Samedi 4 octobre 2025 

 

A Iraklitsa, le ciel bleu est revenu, la mer est calme, mais la température n'invite pas à la baignade : 8° ce matin, 21° dans la journée.

 

 

Mardi 7 octobre 2025 pluie 13°

Alexandroupolis, dernière étape avant d'entrer en Turquie. Quelques courses au Lidl qui est juste en face de notre bivouac et retour à l'intérieur pour mettre mes dossiers à jour.

 

TURQUIE

Mercredi 8 octobre temps ensoleillé 17°

Normalement, l'entrée est rapide, tampons sur les passeports et contrôle cool, mais lorsqu'on arrive à la douane et qu'ils nous réclament l'assurance, on leur montre un certificat qu'on avait imprimé ! Mais ce qu'ils veulent, c'est la "carte verte", qu'on a plus ! On trouve du wifi dans un bar (car on a encore pas d'internet), on appelle la mutuelle qui nous envoie une "carte verte" (mais blanche) par email, mais qu'on arrive pas à récupérer à cause des sécurités. Pour finir, la conseillère nous l'envoie par whatsapp et tout rentre dans l'ordre (d'autant plus que ça changé de douanier et qu'il s'en fout de voir notre assurance). Un conseil, demandez la avant de partir !

Pour changer un peu, au lieu de prendre le pont pour traverser les Dardanelles, on prend le ferry,  Eceabat / Canakkale.

 

Bivouac sur la plage de  Odunluk (Geyikli)

On a dû passer à Ezine pour acheter une carte sim, car ma eSim  ne fonctionnait pas et pour savoir comment la faire fonctionner (voir page pratique), il nous fallait de la connexion !! Enfin, ça marche et on saura pour la prochaine fois !

Bivouac à Gomeç, On connait bien l'endroit car c'est la qu'on est resté en rade en 2023 à cause d'un fusible claqué !

 
   

Vendredi 10 octobre ciel bleu 20°

Aujourd'hui, on pensait s'arrêter à Aliaga, comme il y a 2 ans - mais depuis que les turcs achètent de caravanes et des camping-cars, les interdictions et les barres de hauteurs ont fait leur apparition - et pas seulement ici !

Un peu partout les véhicules de loisirs turc ont envahi les places publiques, les espaces libres proches de la côte ainsi que les plages - ce qui est assez nouveau, car lors de notre passage il y a 2 ans, on en sentait juste les prémices ... 

Bivouac quelques kilomètres plus loin dans la petite localité de Cakmakli.

Mardi 14 octobre 2025  ciel bleu 25°

Depuis quelques jours, la température devient plus clémente - on attend quand même un peu pour se baigner - une eau à 21°, c'est juste bon pour des bretons !  Bien que nous nous n'ayons pas pris l'autoroute (payante avec un badge que nous n'avons pas), nous arrivons à Féthiye en début d'après midi - il faut dire que la plupart des nationales sont à 2x2 voies et ressemblent à des autoroutes.

Bivouac au calme à l'autre bout du port, mais un peu loin du centre ville ! Nous prendrons le bus pour aller au centre ville. On partage l'espace avec des russes en CCar ou caravanes.  Des centaines de yachts de tous tonnages dans toute la baie.

Mais aussi des bateaux de pirates pour touristes et des vrais, saisis par les douanes !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme il fait très beau et que la baignade devient agréable (mer à 25°), nous continuons à suivre la côte et bivouaquons le long des plages. En chemin, nous visitons les ruines de l'ancienne cité de Ksanthos (ou Xanthos).

Théâtre romain

Nécroplole

 

Samedi 18 octobre 2025 ciel bleu, 26° mer à 26°

Nous dépassons Antalya et bivouaquons sur une plage où nous avions déjà séjourné il y a 2 ans lors de notre retour d'Arabie Saoudite.

Rencontre (organisée) avec  Nicolas et Anne, des voyageurs du groupe Sprinter. Pour des camarguais d'adoption, le "sopalin" avec des flamants roses, c'est quand même la classe, non !

Mercredi 22 octobre ciel bleu, 28°

Sympathique étape à Aydinick, mais beaucoup de monde quand même ! Des tchèques, des polonais, 2 ou 3 français et allemands et une nuée de turcs. On constate d'ailleurs que les turcs - qui veulent durer - sont toujours stationnés près de plages où il y a de l'eau, des douches, des toilettes et des poubelles ! A contrario, lorsque l'on voit des spots avec de nombreux camping-cars turcs, c'est qu'il y a de l'eau ........

Kumkuya Park et ses pélicans

Samedi 26 octobre 2025  ciel bleu 26°

Yilankale, château du XIIè siècle construit sur un éperon rocheux. Si le départ du chemin  est bien aménagé, la deuxième partie nécessite de bonnes chaussures et un peu d'escalade - bon, c'est pas grave, ça fait un peu moins de monde au sommet !

Bivouac au bord de la rivière avec nos amis Eric et Cathy qui rentre des "stan".

Etape au Karavan park de Gaziantep, propre, calme, point d'eau, douches chaudes et machines à laver gratuites à volonté... le tout pour 11 €, que demander de plus !

Le propriétaire nous à fait visiter sa drôle de caravane TT turque, avec un "slide" arrière qui lui offre une chambre indépendante ! Les australiens n'ont qu'a bien se tenir !!!!

Lundi 27 octobre 2025 ciel bleu, 23°

Etape sur les places réservées sur le parking du "Piazza Mall" dans la jolie ville de Saliurfa. Balade agréable dans le Baliklgol park et visite du grand Bazard. Nous ne montons pas jusqu'à la forteresse que nous avons déjà visité il y a 2 ans.

Mardi nous arrivons à Mardin et rejoignons le camping situé au pied de la vielle ville. Bivouac possible le long de quelques ruelles - en pente - mais pour 9 €, on peut bien faire marcher le commerce !

Après une bonne volée de marches, on a bien mérité une petite collation !

Levé du croissant lune sur la mosquée !!!

                                                              Wanted Juliana  

Ca fait 15 ans que nous n'avions plus de nouvelles de notre amie voyageuse italienne. Nous avions fait sa connaissance au bivouac du "Club Nautique de Luanda" (Angola) il y a 19 ans lors de notre tour d'Afrique. Nous l'avions revue à Annecy quelques années plus tard à l'anniversaire de mes 60 ans, mais depuis, plus de nouvelles !!!!

Depuis, de nombreux amis voyageurs qu'ils l'ont croisée dans divers pays du monde me demandaient : "t'as des nouvelles de Juliana" ?

Et nous la retrouvons aujourd'hui au camping de Mardin en route pour l'Irak et l'Arabie Saoudite ! 82 ans et encore plein de projets...une sacrée bonne femme !!!

IRAK

Si l’Éthiopie est le berceau de l’humanité, l’Irak pourrait être celui des civilisations.

Population : 47 millions dont 6,5 millions de kurdes dans le nord du pays.

1980 – 1988 Guerre Iran/Irak
1988             Génocide kurde sous Saddam Hussein
1990             Invasion du Koweït
1990 – 1991  Guerre du Golfe
1991             Soulèvement des chiites et des kurdes contre le régime de Saddam
1995 – 1996 Guerre civile du Kurdistan
1998             Bombardement de l’Irak par le Royaume-Uni et les USA
1999             Soulèvement des chiites
2003 – 2011 Invasion des États-Unis
2013 – 2017 Invasion de l’État Islamique (Daesh)
2017 à aujourd’hui Insurrection de l’État Islamique (Daesh) et conflits dus au sectarisme religieux

Jeudi 30 octobre 2025 ciel bleu 28° (18° la nuit)

Nous quittons le camping de Mardin vers 8 h. Sur une vingtaine de kms, nous longeons le Tigre qui fait office de frontière avec la Syrie.

Après 200 km de 4 voies un peu défoncées, nous arrivons à la douane Turc (Silopi) vers 11h15. Juliana nous rejoint juste à temps pour qu'on lui indique la marche à suivre.

Les formalités d'entrée en Irak sont rapidement expédiées (voir "Page pratique Moyen Orient"). Nous attendons Juliana une bonne vingtaine de minutes, en vain???

Entrée irak : image en attente

Nous ne nous attardons pas plus car nous voudrions rejoindre Mosul avant la nuit.

Sur l'autoroute en excellent état (mais blindée de radars), la circulation est dense mais fluide, sauf à l'approche d'un "check point" où, suite au bouchon formé par ce contrôle (en sens inverse), ils nous la font à "l'indienne". Après avoir squatté leurs 3 voies de circulation sur 5 lignes, le terre plein central sur 3 lignes - les automobilistes  ont aussi squatté nos 3 voies de circulation - résultat nous sommes bloqués et devons rouler sur le bas côté pour nous essayer de nous extraire de ce capharnaüm.  

La conduite Irakienne est un bon exemple de la conduite indienne ! N'hésitez pas à vous entrainer !

 A Mosul, la conduite est un peu stressante, mais nous arrivons sans encombre sur le parking qui nous servira de bivouac. Malgré les conseils du gardien, j'hésite a trop "coller" la paroi de peur que des pierres dégringolent. Durant la guerre, entre 2013 et 2017 au moment de l'invasion de l'EI, la vieille ville de Mosul a été très touchée par les bombardements. Aujourd'hui, la ville se reconstruit en béton, mais les séquelles restent nombreuses. D'autres quartiers

Mais surtout, ne croyez pas que toute la ville est dans cet état. Certains quartiers sont  propres avec des constructions ultras modernes.

Dans les rues commerçantes, les gens nous interpellent souvent (ils voient bien que nous sommes des touristes), mais toujours pour nous saluer ou nous souhaiter la bienvenue. En fait, les irakiens sont heureux de voir à nouveau des visiteurs étrangers chez eux, c'est la preuve que la vie reprend son cours;....

Pourtant, on voudrait bien acheter une carte Sim, mais aujourd'hui c'est vendredi et la plupart des commerces sont fermés,

Aujourd'hui reconstruit, le minaret penché de la mosquée d'Al-Nuri était emblématique de la ville avant qu'en 2017, il ne soit bombardé par les djihadistes en signe de capitulation.

 

Samedi 1 octobre 2025 ciel bleu 26° (13° la nuit)

En quittant Mosul, nous nous arrêtons au bureau ultra moderne de "zain" pour acheter une carte Sim (voir P. pratique) et ça tombe bien, c'est juste en face de la partie restaurée des fortifications de Ninive, l'ancienne capitale de l'Empire assyrien.

En route pour Akre, nous passons 3 "check points" avec contrôle des passeports et des visas ! Puis un quatrième - avec contrôle des bagages (soft) - qui doit être l'entrée au Kurdistan Irakien.

Quelques kilomètres plus loin nous bifurquons vers monastère de Mar Mattai où nous ferons étape. Ce monastère syriaque orthodoxe construit en 363 sur le mont Alfaf est dédié à saint Matthieu, ermite syriaque du IVe siècle. C'est donc l'un des plus anciens du monde chrétien.

Ce matin, après un nouveau check point - où l'on nous souhaite la bienvenue - nous empruntons les rues pentues et tortueuses de la vieille ville d'Akre (aussi écrite : Akra, Aqra ou Aqrah) fondée en 580 av. J-C. Les vieilles habitations sont superposées les unes sur les autres à flanc de montagne.


Aujourd’hui, outre l’Islam modéré et ses nombreuses mosquées, on peut encore y trouver quelques églises de la minorité chrétienne.

L'accueil des gens est chaleureux, impossible de payer notre pain ou notre Kebab malgré notre instance. Passer du temps sur la place principale du vieux Akre à l'ombre du vieux fort ottoman, c'est la garantie d'être abreuvé de "chai" toute la journée !

Par contre, le fort ottoman ne paie (lui non plus) pas de mine et le bazar situé juste face est à moitié déserté !

Lundi 3 (4 & 5) novembre 2025 ciel bleu 26° (13° la nuit)

Après & ou 2 contrôles rapides, nous arrivons à Erbil, la capitale du Kurdistan irakien. Le parking / bivouac est idéalement situé entre 2 immenses parcs verdoyants et à 20 mn à pied (5 mn en taxi pour 3000 IQD) de la citadelle. Déjà 3 C-Cars sur le parking (2 suisses & 1 allemand), puis Denis et Pierrette Robin (robinland.fr) nous rejoignent rapidement.

Le minaret de Mudhafaria mesure plus de quarante mètres de haut et a été érigé il y a plus de 8 siècles. Une œuvre absolument unique.

La citadelle d'Erbil - inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2014 -  est la partie la plus ancienne de la ville. Elle est située en plein centre de la ville et surplombe toute la métropole.

Située au pied de la citadelle, la place Qalat, agrémentée de ses nombreux jets d'eau est très photogénique. Elle est le point de rencontre le plus populaire de la capitale du Kurdistan irakien. La plupart des irakiens et irakiennes qui s'y promènent sont habillées à l'européenne et les "barbus" se font plutôt discrets !

Les boutiques et les bazars situés tout autour de la place Qalat 'en bas de la citadelle débordent de marchandises : outillage, bricolage, électronique, informatique, textiles, parfumerie, mobilier... les trottoirs et les rues servent aussi d'espaces de vente... d'ailleurs nos hôtesses sont en pleine représentation !

La mosquée Jalil Khayat (achevée en 2007) est la plus grande mosquée de la ville d’Erbil. Son intérieur est considéré comme l'un des plus beaux au monde. Elle s'étend sur 15 000 mètres carrés et peut accueillir entre 1 500 et 2 000 fidèles.

Jeudi 6 novembre 2025 ciel toujours bleu 30° 17° la nuit

Nous prenons la route de Samarra distante de 260km. Pas moins 11 check points et de nombreux fortins avant rejoindre Samarra. Nous retrouvons d'ailleurs les "Robin" qui nous avaient quitté la veille - ils ont essayé le bivouac sauvage mais se sont fait rapatrier au poste par la police !

Et par dessus le marché, lorsqu'on leur dit qu'on veut s'arrêter au minaret d'Abu Dulaf,  qui du haut de ses 19 m domine les ruines de la mosquée, ils nous collent une escorte entre les 2 check points ! Je tiens à préciser que dès qu'ils connaissent notre nationalité, l'accueil est toujours courtois et chaleureux ; à l'occasion, j'ai même droit à la bise !!!

Pourquoi tant de check points autour de Samarra : lorsque en 2014 l’EI a tenté de s’emparer de la ville largement sunnite, le gouvernement a décidé de collaborer avec la milice chiite pour sécuriser le secteur, mais la venue de centaines de pèlerins chiites qui viennent se recueillir sur les tombes des 2 imams qui y sont enterrés, peut rendre la situation instable voire dangereuse.

Samarra qui signifie "celui qui l'aperçoit est heureux" était autrefois l'une des plus grandes villes de Mésopotamie et devint au IXème siècle la capitale du monde musulman. Bien qu'elle soit devenue une ville sainte et un important lieu de pèlerinage pour les musulmans chiites, la propreté laisse à désirer !

Avec son architecture en forme de spirale qui aurait été inspirée de la Tour de Babel, le minaret Malwiya, du haut de ses 52 mètres, domine les remparts qui ceinturaient la grande mosquée. 

Nous avions l'intention d'aller visiter la "Mosquée d'or" de Samarra, mais aujourd'hui c'est vendredi, jour de congé et de prière. Dès 7 h du matin, les bus arrivent par dizaines et débarquent des milliers de pèlerins qui investissent la ville. On verra au retour !

 

BAGHDAD

Vendredi 7 & 8 novembre ciel bleu 30°

Ce matin, seulement 2 contrôles (rapides) pour rejoindre Bagdad. Le parking "Palms of Baghdad" sert toujours de bivouac - nous y retrouvons d'ailleurs les Allemands, les Suisses et la famille Subrini qui voyage à bord de son bus - mais on nous dirige maintenant vers la droite du parking où le bruit incessant des silos voisins nous cassent les oreilles !

Nous profitons du rayon traiteur l'hypermarché tout proche pour y acheter notre repas. Nous y trouvons même la crème "chantilly" et le cidre - sans alcool - pour accompagner les crêpes !

Nous partons en taxi pour faire les visites dans Bagdad mais avant de partir nous prenons soins d'enregistrer les images de tous le lieux que nous voulons visiter car les chauffeurs ne comprennent pas un seul mot d'anglais.

Sur les grands axes, la circulation est fluide - heureusement car le monument des martyrs se trouve à 20 km de notre parking. Il a été érigé pour commémorer les morts au combat et les atrocités de la guerre avec l’Iran. Notre chauffeur nous a à peine déposé que le gardien nous annonce que le site est fermé !!!

Direction la place de la libération. Sur son monument emblématique, figure les événements importants de l’Irak ayant menés à l’établissement d’une république.

Nous continuons à pied en direction du quartier Matanabbi. Claude essaye bien de faire la circulation ......

Si certains quartiers ont été rénovés, d'autres sont dans un état de décrépitude avancée et certains bâtiments menacent de s'effondrer.

Pas étonnant que les coupures de courant soient récurrentes ! Et non, ce ne sont pas des toiles d'araignées !!!

Nous sommes impressionnés par la variété et la quantité des marchandises qui sont à vendre !

Et toujours de nombreux "petits" métier....

La rue Al-Mutanabbi crée à l'époque  abbasside (750 - 1258) est l'une des plus célèbre rue de Baghdâd et le plus ancien marché aux livres de la ville. Elle regroupe des centaines de bibliothèques, des imprimeries, des caligraphes et même des réparateurs de stylos !

C'est dans la rue Al-Mutanabbi que se situe le café Shabandar, le plus ancien et le plus célèbre café de Bagdad et d'Irak. C'est aussi aujourd'hui un centre social culturel et intellectuel et un des monuments patrimoniaux les plus importants de Bagdad

Mosquée xxxxx

Navette fluviale, bien plus rigolo et plus bien rapide que de traverser le pont.

Avant de partir, nous avions pris bien soin de prendre plusieurs photos de "Palm of Baghdâd", mais malgré tout, aucun chauffeur ne reconnait l'endroit - heureusement que nous avons pris la tablette pour le guider.

Dimanche 9 novembre  ciel bleu 32°

Nous quittons notre parking "d'enfer" ... De toute façon, le 11 il y a les élections  législatives et nous ne voulons pas rester dans une grande ville. Nous n'avions jamais vu une campagne d'affichage d'une telle ampleur - il y a des dizaines de milliers de panneaux publicitaires dans les villes, dans les carrefours, sur les bâtiments et le long des routes.

Taq Kasra (ou Taq-e Kisra) dont la construction daterait du VIe siècle de notre ère est considéré comme le symbole de l'Empire perse durant la dynastie sassanide. C'est le seul vestige visible de l'antique cité de Ctésiphon. L'arc, le plus grand jamais construit à cette époque, mesure 37 mètres de hauteur, 27 mètres de largeur et 50 mètres de longueur.

Comme de bien entendu, lorsque nous arrivons, le site est fermé, on commence a en avoir l'habitude ! Heureusement le gardien nous indique qu'on peut aller jusqu'à l'hôtel abandonné et s'approcher du site. Dommage que l'environnement soit un vrai dépotoir !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conduite sportive - environnement de poubelles (sauf dans certains quartiers de grandes villes) - beaucoup de poussière - sites fermés ou détruits - contrôles sympa mais incessants - des flics et des militaires partout - Bivouacs sauvages risqués (de se faire déloger la nuit) .

Ambiance bizarre d'après guerre.

 

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