BOTSWANA

Population : 1 800 000 habitants

Monnaie : Pula

Superficie : = à la France

Langue(s) officielle(s) : Anglais

Densité : 2.63 hab./km²

Statut : République parlementaire

Capitale : Gaborone



Projection : 2050 1 600 000 habitants

Parcours du 6 août au  18 août 2006

Kilomètres parcouru au Botswana : 1860 dont de piste 420


Kilométrage total depuis le départ sortie du Botswana : 41360 km





Ancien protectorat Britannique, mais jamais colonisé, le Botswana, vaste territoire désertique,  prend son indépendance en 1966. Epargné par les guerres et la corruption, il fait figure d'exception sur le continent Africain. Même si dans les villes la situation a tendance à se dégrader, en dehors, le pays est sûr et habité par un peuple nonchalant, tranquille, accueillant et souriant. Malgré les revenus des mines de diamant, nickel, cuivre, du tourisme et de l'élevage et l'un des plus riches d'Afrique, 47 % des Botswanais vivent sous le seuil de pauvreté.  37 % des adultes sont séropositifs et l'espérance de vie est descendue à 38 ans. Alphabétisation : 79 %, scolarisation : 79 %.


Les trois principales curiosités du pays sont : les grands Parcs Nationaux du nord/est avec ses dizaines de milliers d'éléphants,  le delta de l'Okavango au nord/ouest et le désert du Kalahari au sud.

Dimanche 6 août 2006
Après avoir traversé le Ngoma bridge nous entrons au Botswana. Petite séance de désinfection symbolique, il faut marcher sur une éponge imbibée et de traverser un bain de désinfectant avec la voiture.  Je me demande bien pourquoi ils ne désinfectent pas nos chaussures pleines de boue qui sont à l'intérieur ! A la douane, juste un coup de tampon sur les passeports et une taxe de 9 €  à payer  en Pula ou en  Dollars namibiens.  On ne présente pas le CDPD, et personne ne nous le réclame.

Nous prenons la direction de Kasane en traversant le Parc National de Chobe (gratuit pour le transit). La vitesse est limitée à 80 km/h et on comprend vite pourquoi.  Des éléphants nous coupent la route à plusieurs reprises  et si  certains  exécutent un pas de danse, d'autres  sortent de leur bain.
Kasane est une petite ville qui se limite à de nombreux lodges, grands magasins, distributeurs de billets et 3 ou 4 cybers, dont un ouvert le dimanche.
Nous changeons nos derniers Dollars Namibien en Pula à l'un des nombreux bureaux de change et envoyons un e-mail au Jolly Backpacker de Livingstone en Zambie afin qu'ils nous envoient des invitations pour la Zambie, ce qui nous éviterait de payer les visas pour aller aux chutes Victoria.

Zimbabwe et Zambie  du lundi 7 août au mardi 8 aout 2006
N'ayant pas reçu nos invitations, (nous nous y sommes pris un peu tard et aurons la réponse le lendemain)  nous partons  au Zimbabwe pour admirer les chutes Victoria. Tant qu'à payer des visas, nous préférons aller côté Zimbabwe d'où la vue est bien plus impressionnante.
Formalités : sortie Botswana, nous avons passé la douane sans nous arrêter (il n'y avait personne dehors).
Entrée Zimbabwe : visa : 25 €/per, taxe carbone : 12 €, taxe routière : 7 €. Les prix sont affichés dollars Us, mais ils prennent n'importe quelle monnaie. (Nous avons payé en Pulas).

Il y a une dizaine d'années, le Zimbabwe était à l'Afrique ce que la Suisse est à l'Europe, un pays calme, riche et accueillant. C'est aussi à cette époque que le Président dictateur Robert Mugabe, commence à exproprier la plupart des 4000 fermiers Blancs au profit de Noirs, plutôt proches du gouvernement.
 
Nous en avons rencontré John et Judith, un couple de Blancs,  qui en ont fait les frais et qui vivent maintenant en Afrique du Sud. En 2002, ils durent quitter les lieux manu militari en laissant tout derrière eux; meubles, tracteurs, animaux...
Les expropriations étaient décidées suite à des survols en hélicoptère, surtout en fonction de la richesse de la ferme et de la qualité des habitations.  La ferme qui produisait fruits et maïs et élevait porcs, bœufs et autruches. Les 60 employés et leurs familles, soit environ 300 personnes ainsi qu'un centre de santé vivaient de et sur l'exploitation.

Aujourd'hui, il ne reste plus rien, sauf un petit verger pour nourrir les "propriétaires" !  Les herbes folles ont remplacé les cultures, les animaux ont été mangés, les employés réduits au chômage et tout ce qui pouvait être vendu, liquidé : meubles, engins agricoles, silos, jusqu'aux portes et fenêtres des maisons des employés !
Partout, la production agricole s'est effondrée et le pays  a sombré dans la misère. Même les touristes qui ne peuvent plus circuler à cause du manque de carburant ont déserté le pays. Ce matin, à la radio, on a entendu Mugabe qui menaçait  de retirer les terres aux Noirs si la production agricole ne s'améliorait pas, mais pour les donner à qui ? Tant que les cervelles seront en friche, rien ne poussera dans le pays !


Nous arrivons rapidement à Victoria Falls, petite ville où sont basés tous les Lodges et les agences de tourismes. Ici sont proposées toutes sortes d' activités ;  safaris,  saut en élastique , rafting ou balades en bateau sur le Zambèze, survol des chutes en hélicoptère, monolight ou ultralight(ULM).

Beaucoup plus larges et 2 fois plus hautes que les chutes du Niagara, les chutes Victoria s'étendent sur 1,7 km de largeur     et se déversent dans une faille de 100 mètres de profondeur. On comprend dès lors l'étonnement de Livingstone lorsqu'ils les découvrit en 1855. Subjugué par tant de splendeurs, il donna aux chutes le nom de sa reine ; Victoria.

Un bon sentier longe les chutes et permet d'accéder à de nombreux points de vue. Lorsque dans l'après-midi le soleil pénètre au plus profond de la faille, de multiples arc-en-ciel  apparaissent et en décuple la beauté.

Nous avons choisi un survol des chutes en ultralight. Comme il n'y a pas de carburant au Zimbabwe, les vols partent de     Livingstone côté Zambien.  Coup de chance, je tombe sur un pilote Allemand qui parle Français et qui me montre les éléphants, les hippos et les crocodiles qui prennent leur bain. On découvre le Zambèze qui s'étale en un immense delta pour  disparaître d'un seul coup dans la faille vertigineuse de Victoria et réapparaître un peu plus loin en suivant   dans un profond canyon torturé.

        
                                              Grandiose et impressionnant,
une très belle expérience !

Retour au Botswana
Comme nous n'avons pas fait les formalités de sortie et que la barrière d'entrée est levée, nous faisons un petit signe au douanier, qui pense raisonnablement que nous avons fait les formalités et passons sans nous arrêter !

Mardi 8 août 2006
Nous quittons Kasane pour Maun. Comme nous  n'avons pas envie de faire un grand détour par Nata, nous prenons la piste (360 kms) qui traverse le Chobe National Park. Peu après Ngoma Bridge, nous sommes arrêtés à une "barrière vétérinaire". Tant que le préposé désinfecte nos pneus avec son vaporisateur, tout va bien, mais lorsqu'il veut  que Claude  jette la viande  qu'elle vient d'acheter au supermarché, les choses se gâtent !  Du coup il accepte qu'elle la garde à condition qu'elle la fasse cuire.  Je ne vois pas bien la différence  entre la cuire maintenant ou pour le dîner du soir ! C'est vraiment des abrutis et ils seraient mieux au fond du bush qu'à s'occuper des virus.  Si nous avions su qu'il y avait une "barrière", nous aurions caché les laitages et la viande, comme à l'entrée !

            

Sur le parcours, nous verrons  de nombreux troupeaux d'éléphants et d'impalas, des girafes et des milliers d'oiseaux, aigles serpentaires, marabouts, calaos......
La piste est assez mauvaise dans l'ensemble, très sablonneuse et creusée de profondes ornières d'où il est difficile de s'extraire pour laisser passer les quelques véhicules que nous croisions. Plus loin, ce sont les empruntes de pas, que dis-je les trous, qu'ont laissé les éléphants dans la terre meuble qui donne la tremblote à la case mobile. Avec l'observation des animaux et la piste pourrie, il nous faudra presque 2 jours pour rejoindre Maun.
Lors du bivouac du soir dans la forêt, bien que  j'évite de me mettre sur un des nombreux passages d'éléphants (des fois que ça les vexe), nous ne sommes pas très rassurés ! C'est bien une des premières fois que je ne vais pas pisser dehors, au cas où les lions ou les hyènes seraient aux aguets !


Nul besoin de payer l'entrée du parc pour voir les animaux, il suffit de circuler entre Kasane et Gcona gate (entrée nord du parc). Evidemment, arrivés là vous n'êtes pas très avancés ! Le plus simple est de payer l'entrée du parc et de continuer jusqu'à Maun.

Jeudi 10 août
Maun est la petite ville du sud du Delta d'où s'organise tous les safaris et les vols au dessus du Delta de l'Okavango. On y croise de nombreuses femmes Héréros engoncées dans leur costume de l'époque victorienne. Pas de problème pour faire les courses, toutes les enseignes de supermarchés sont représentées. Aussi, achetons-nous bien souvent des plats cuisinés tous chauds au rayon traiteur.

Aujourd'hui, par chance, nous avons retrouvé un couple de vacanciers Français que nous avions connu  en Namibie.  Du coup, on peut louer un avion  4 places pour survoler le  Delta de l'Okavango.

Au lieu de terminer sa course dans l'océan, l'Okavango, le troisième plus grand fleuve d'Afrique, répand ses eaux dans le désert Botswanais où se forme un gigantesque delta intérieur d'environ 150 kms de long. Là, s'épanouit la plus grande oasis d'Afrique, véritable paradis tropical au milieu  de chenaux et lagons aux eaux cristallines.

            
    
Comme nous volons à 2 ou 300 mètres du sol cela  nous permet d'admirer des paysages fantastiques fait de pairies, forêts, rivières, bras d'eau et veines laissées par des rus asséchés. Nous pouvons admirer toute la gamme des  verts  des prairies et des forêts, l'or des savanes et le bleu des bras d'eau qui se confondent avec le ciel.  On distingue aussi très nettement  d'immenses troupeaux d'éléphants, de buffles et d'hippopotames.
Le spectacle est extraordinaire et nous rappelle les images de Nicolas Hulot.


Hier soir à Maun, nous avons campé à l'Audi camp en pensant à Didier, mais la qualité Allemande n'est plus ce qu'elle était, aussi, ce soir  nous  campons au Sédia Hôtel, moins cher, plus sympa et avec une piscine. Comme d'habitude, Claude essaye de négocier les prix, mais que ce soit en Namibie ou au Botswana, ça ne marche pas souvent. On est pas en Afrique noire......
Pas de doute, les Français sont bien en vacances. Ce soir ils sont très nombreux au camping et  voyagent à bord de camions affrétés par les tours opérateurs Français tel que Nouvelles Frontières, Atalante, Terre d'Aventure, etc. Par rapport à nous, ils trouvaient leurs vacances bien courtes.

Nous voilà de retour à Maun après 2 jours  en  mokoro (pirogue taillée dans un tronc d'arbre)  sur le Delta de l'Okavango. Départ à l'aube, une heure de 4x4 et après 2 heures de mokoro sur les eaux cristallines du Delta,  au milieu des joncs, nous plantons notre tente sur un îlot recouvert de savane et de quelques arbres.

          
    Et là il ne se passe plus rien jusqu'à 17 heures ; on se demande bien pourquoi on s'est levé si tôt ce matin ? Ensuite on repart pour voir les hippos, mais ils sont à contre jour et on reste loin ! C'est vrai que les hippos sont réputés pour être les animaux les plus dangereux d'Afrique, n'empêche qu'on est un peu frustrés. Pas de doute, notre piroguier est un vrai Africain; alors que nous partons pour 2 jours et doit respecter un horaire, il n'a ni montre, ni tente, ni couverture et rien à manger ! Dès que la nuit tombe, il nous demande de lui prêter une lampe (il a du l'oublier aussi) pour rejoindre l'île voisine où des collègues à lui peut-être plus prévoyants, pourront le nourrir et l'héberger.
 
Nous nous endormons bercés par le concert des grenouilles, le grognement des hippopotames et le bruissement des souris qui courent sur les feuilles mortes. Au petit matin, lorsque nous voulons manger notre cake, les souris nous ont devancés. Elles ont grignoté le tapis de sol de la tente (toute neuve) et se sont introduites dans nos provisions.


Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons 3 fois pour écoper (avec les pieds et les mains car il n'a pas de récipient), à la 4ème il faut s'échouer pour boucher un gros trou préalablement réparé avec du carton ! Tout y passe, nos sacs plastiques l'emballage papier du sucre, la seule denrée alimentaire en sa possession et qu'il doit maintenant jeter. Un peu plus loin, à la suite d'un faux mouvement de sa part, on se retrouve le cul dans l'eau ! Heureusement que nous avions emballé toutes les affaires dans des sacs poubelle. Une vraie organisation à l'Africaine !  En définitive, cher et pas très intéressant.

Lundi 14 août 2006
Le désert du Kalahari est considéré comme la plus vaste bande de sable continue du monde, couvre 85% du territoire Botswanais et empiète sur plusieurs pays limitrophes. Mais si le mot désert évoque la nudité et la stérilité, le Kalahari est   fait de vastes plaines d'herbe couleur or entrecoupées d'épineux ou de savanes arborées par quelques grands acacias, mopanes ou baobabs.
C'est dans cette région que vivent encore les San (ou Bushmen ou Bochimans) qui étaient les premiers habitants d'Afrique Australe dont la plupart ont été exterminé par les premiers colons Hollandais.

Ces curieux petits hommes, aux langues à "clics" autrefois chasseurs, cueilleurs, n'arrivent pas à s'adapter à la vie moderne. Reclus dans des espaces trop restreints, ils sont touchés par l'alcoolisme, le chômage et la pauvreté et meurent même de malnutrition.

Nous partons maintenant vers le Kgalagadi (ou Kalahari) Transfrontier Park situé à l'autre bout du pays à cheval sur les frontières de la Namibie, Sud Afrique et Botswana. Arrivés à Hukuntsi, nous quittons le goudron pour continuer sur une bonne piste qui nous conduit à Zutshwa. Là, nous bataillons plus d'une heure pour trouver la petite piste qui mène à Kaa Gate, l'entrée nord du parc.

Nous utilisons pourtant les cartes InfoMap (disponibles pour tous les pays d'Afrique Australe) sur lesquelles sont notés les points GPS des principales jonctions, mais la piste que nous voulons emprunter ne figure même pas sur la carte !

Nous nous sommes arrêtés dans le bush pour bivouaquer. Dans la soirée, j'ai du sortir pour effrayer les chacals un peu trop curieux qui hurlaient à la mort.

Ensuite, comme dans tous
les déserts du monde en hiver, la nuit a été  froide, - 3°, lors que depuis le début du mois les températures nocturnes remontaient agréablement.
Ici, l'activité se résume à du game drive. Les animaux ont l'air d'être plus nombreux dans le sud du parc. Nous rencontrons surtout de grands troupeaux de gnous, oryx, bubales et autruches.
Quelques springboks, oréotraques sauteurs, chacals, ratels et de nombreux oiseaux.

A  peu près les mêmes animaux que dans les autres parcs, mais en beaucoup plus sauvages. D'autres personnes ont vu des lions et des léopards, mais pas nous.

        

Hier dans le parc nous avons bivouaqué avec un couple de Suisse qui font le même voyage que nous. Pour le moment ils partent vers la Zambie, peu être nous retrouverons nous au Mozambique ou au Kenya ! Un peu plus tard sur la piste, nous avons croisé 2 autres 4x4 immatriculés en Suisse. Ils ne sont pas nombreux, mais qu'est ce qu'ils voyagent.


METEO : très beau temps. Température : 25/30° la journée, 5/7° la nuit, sauf dans le Kalahari : -3°/ 4°.


ARGENT : Distributeurs dans toutes les villes. Change : 1 € = 7,50 pulas.
GO : 0,65 €.  Pain : 0,15.  Canette : 0, 50. Plat cuisiné : 1,50 €. Dépenses totales : 860 €.
Le Botswana  n'était déjà pas une destination économique, et pourtant les prix des lodges, des campings, des excursions et des entrées de parcs ont augmenté de 20 à 30% ces 2 dernières années.

SANTE : RAS  


INTERNET : dans les grandes villes, rapide au centre de Maun : 3 €/h.

MECANIQUE : RAS

BIVOUACS :   libres : 5      camping : 7

ITINERAIRES : Kasane-Savuti-Maun en traversant le parc du Chobe. Le parc du Chobe fait une sorte de V.
Le 1er tronçon Kasane/Ngoma bridge, pourtant dans le parc est gratuit. Le 2ème tronçon Ngoma bridge/Gcona gate, est hors parc entre les branches du V. Attention, barrière vétérinaire, planquez vos laitages et vos viandes. A la borne qui indique Savuti, quittez la piste principale et tournez à gauche direction Savuti et continuez jusqu'à Gcona gate. 3ème tronçon : Gcona gate/Maun. A Gcona gate S 18° 27 190  E 21° 10 850, (pt pris sur le tracé GPS) péage de l'entrée du parc : 40 € pour 2 et la voiture. Quelques kms plus loin, choix entre 2 pistes (nous avons pris à gauche) mais à priori elles se rejoignent plus loin. Environ 100 kms d'asphalte et 270 kms de piste. Pistes assez mauvaises dans l'ensemble, beaucoup de sable avec profondes ornières ou trous provoqués par le passage des éléphants à la période humide. Enfin, rien d'infaisable en 4x4. A faire en 2 jours en bivouaquant dans le bush avant l'entrée de Gcona.

Kgalagadi Transfrontier park, ( à cheval sur Botswana et A du S)
entrée par le nord (Botswana) : à Hukuntsi prendre la piste à droite au S 23° 59 280  E 21° 45 430, arrivé à Zutshwa prendre la piste de sable au S 24°03 627  E 21° 14 666, facile en 4x4. Porte nord, Kaa gate : S 24°21 506  E 20° 37 531. Nous n'avions rien réservé. Tarifs journaliers :  côté Botswanais : 3 €/pers + 0,60/voiture + 4,50 €/pers pour le camping. Côté  Sud Africain : 4 fois plus cher !
à moins d'avoir acheté la Wild carte (permet l'accès à tous parcs S A gratis). Sinon, en entrant côté sud, à Two Rivers vous pouvez choisir de payer votre entrée  et réserver vos campings au bureau Botswanais ou SA. 


INFOS : nous avons eu la réponse de Jolly backpacker, site : www.backpackzambia.com. Ils proposent un package très intéressant pour 25 $us par personnes. 2 nuits de camping ou dortoir, 2 repas et le visa Zambien (valable 14 jours).
Faire 1 e-mail quelques jours avant en précisant votre nom, n° de passeport, date d'expiration, la date d'entrée et le bureau de douane d'entrée. 

Vol en ultralight au dessus des chutes Victoria : transfert en Zambie et vol en ultralight 15 mn  : 65 €/pers. (S'inscrire dans n'importe qu'elle agence, les prix sont fixes.)

Survol de l'Okavango en avion : 50 €/ pers pour 1 heure sur la base de 4, Delta air  dans la cours de l'aéroport.

Expé en mokoro : 2 jours en Mokoro au départ de l'hôtel Sédia : 180 € pour 2 (pour une fois la négociation a marché). Emporter ses vivres et sa tente.

LES MOINS : Le prix des parcs et des activités touristiques. Paysages monotones en dehors du Delta de l'Okavango. Le froid la nuit.

LES PLUS : Pas de moustiques même sur l'Okavango, routes en bon état, camping partout. Supermarchés dans toutes les villes. Prix raisonnables. Pays propre et population sympa.

Le 18 août, nous faisons un barbecue avec des vacanciers Lyonnais avant de  quitter le Botswana pour l'Afrique du Sud.