Population
: 3
067 859 habitants
|
Monnaie
: Ouguiya
|
Superficie : 1
030 700 km²
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Langue(s)
officielle(s)
: Arabe,
Français
|
Densité
: 2.59
hab./km²
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Statut
: République
|
Capitale
: Nouakchott
Projection
2050 : 7
500 000 habitants
Le
pays prend son
indépendance en novembre 1958.
Novembre 1975, occupation d'une partie du Sahara occidental. Dernier
putsch en août 2005, prochaines élections prévus
en mars 2007. Les perspectives économiques du pays sont bonnes,
la pèche assure 50% des recettes à l'export,
il possède d'importantes réserves de cuivre, de sel, de
phosphates, d'or et de fer. Enfin, l'exportation du pétrole du
puits de Chinguetti commencera en mars 2006.
Climat chaud et sec. Religion musulmane. Espérance de vie : 51
ans, scolarisation : 45%.
Parcours
du 6
octobre 2005 au 29 octobre 2005
Kms
Mauritanie : 2930 dont 1600 km de piste.
Kms total depuis le départ : 8 730 km
Vers 10
heures nous arrivons au poste
de frontière Marocaine et les formalités sont
expédiées en 20 minutes environ, ce qui nous
laisse quand même le temps de faire connaissance avec Jean
Philipe (un Annécien) qui descend à Atar avec 2 camions
remplis de quads et de pièces détachées. (Il
organise de raids en quads)
Après 3
ou 4 kms de piste, nous arrivons aux cabanes de
la police
et de la douane Mauritanienne.
Une demi-heure d'attente (derrière des Allemands
qui descendent des Mercedes ) et les
formalités sont
expédiées dans la bonne humeur en 30 minutes.
Visa : 30 € par personne (sans aucun document à remplir ni
photos à fournir),
+ 10 € pour le véhicule et 10 € à la douane (total 80 €).
Après un
rapide pic-nique dans la baie
du
lévrier, nous rejoignons Nouadhibou
et le camping du Lévrier chez Ali.
A propos : les deux contrôles de
police tant redoutés avant Nouadhibou se passent maintenant de
manière rapide et courtoise. Tout change, même en Afrique.
Par
rapport au Maroc, ici le
changement
est total : rues
poussiéreuses, jonchées de poubelles, animaux qui mangent
les cartons,voitures
à moitié détruites, si ce n'est pas la
misère, ça y ressemble.
Près du camping nous discutons avec un pâtissier
Sénégalais, (très nombreux en Mauritanie) qui dit
gagner 70000 OM ( environ 200 € ) ce qui pour ici est un bon
salaire ( par exemple, le salaire du boy du camping n'est
que de 40 € par mois, nourri logé !!!). Nous lui demandons
pourquoi il ne travaille pas au Sénégal où
les
salaires sont plus élevés ; il nous répond
que
là-bas, il faudrait qu'il fasse vivre toute sa famille (
même
élargie ). Il ne lui resterait plus rien, alors
qu'ici, il envoie seulement une petite partie de son salaire et
économise le reste.
Pour Internet
ici c'est compliqué,
entre les coupures d'électricité, de connection et
les horaires perturbés à cause du Ramadan, il faut
être
très patient pour envoyer des mails. (Pas d' ADSL de toute
façon). Hier, il nous a fallu une heure pour lire un message et
en
envoyer un autre.
Nous
partons toute la journée pour une
ballade au Cap
Blanc (qui abrite l'une des dernières colonie de phoques
moines) en suivant sur plusieurs kilomètres la Baie des Epaves.
Ici gisent
environ 150 bateaux de fort
tonnage qui pour la plupart n'ont jamais pris la mer. Dans le cadre
d'accords de pêche bilatéraux entre la Mauritanie et les
pays exploitants les ressources halieutiques, ces derniers
livrèrent à Nouadhibou une flotte de
pèche toute neuve, mais faute de formation des équipages,
ils
restèrent au port.
Après
une
rencontre avec
Georges et
ses copains au camping
du lévrier, nous partons pour une partie de pèche sur le
Banc d'Arguin. Malgré une approche difficile
la pêche sera bonne.
Dis donc Jean-Claude (Ratp....)
la concurrence est rude !!!!!!
Ce soir au menu :
carpaccio
de
Maquerau-Bonite, filets de Loup et de
Daurade au barbecue et le reste est découpé,
salé, sèché
Air :
32° Eau : 29°
Poissons : 88 cm Pastis : on n'a pas compté.
Au
camping, nous faisons la connaissance
d'un jeune couple sympathique, Sabrina et Manu qui cherchent
un équipage pour faire la piste Nouadhibou Choum Atar
(environ 600 km) ; ça tombe bien nous partons justement dans
cette direction.
Ce matin nous prenons le route pour sortir de la ville, mais une violente
tempête de sable s'est levée dans la nuit et par
endroits nous ne voyons presque plus le goudron.
Après concertation, nous rebroussons chemin pour attendre la fin
de la tempête dans la baie du Lévrier où l'on se
baigne avec plaisir.
Après
24 heures, la tempête
s'est calmée et nous partons pour Atar via Choum. En fait de
piste, elle disparaît très souvent sous les dunes que le
vent a
déplacées, mais il suffit de suivre la voie ferrée
côté Sud. (le coté Nord serait encore miné)
Le train qui
circule
(en charge) d'E st en Ouest sur 700
kilomètres entre
Zouérate et le port de Nouadhibou sert au transport du minerai
de fer.
Il est réputé pour être le plus long et le plus
lourd du monde, il peut atteindre 2,5 kms de longueur avec ses 210
wagons
de 100 tonnes chacun.
Le long de la piste sablonneuse, facilement réalisable avec des
4x4 sans avoir besoin de rouler sur les rails comme certains l'indique,
nous traversons plusieurs villages de zeribas (cases en joncs)
où tous
gens travaillent à l'entretien des voies.
Dès la
mi-parcours le relief apparait. Nous tentons d'escalader le plus gros
monolithe d'Afrique, mais la chaleur et le manque de
matériel ne
nous permettent pas d'atteindre le sommet. (38° le jour, 30° la
nuit)
Grâces aux
fortes
pluies de septembre dernier, la région a reverdi et nous
picniquons à l'abri des acacias sur une pelouse
très
verte; on se croirait presque en Haute-Savoie.
Après 3 jours de piste,
quelques passages de dunes et un ensablement chacun,
nous arrivons à Atar, capitale de l'Adrar.
Le soir
même
nous sommes invités chez Jean Philippe (Philippe c'est le nom)
notre collègue d'Annecy et Directeur de NEW GATE (organisation
de circuits en 4x4, quads et motos dans l'Adrar).
Entouré d'une partie de
son équipe
: Français, Tchèques, Mauritaniens,
Sénégalais, nous
partageons un repas animé et bien arrosé suivi de la photo
souvenir devant l'un des ses Tatras 6x6.
Après
les pleins et quelques courses,
(il n'y a pas grand chose à Atar), nous décidons de faire
un circuit de quelques jours dans l'Adrar, toujours accompagnés
de Sabrina et Manu.
Pour ceux qui connaissent : Atar, El Beyed par la piste
intermédiaire, Guelb Er Richat, Ouadane, l'oasis de Tanouchert,
Chinguetti par la piste de l'oued
et la passe d'Ebnou et Atar par la passe d'Amogiar, soit environ 760
kms.
A part
quelques passages de tôle, la piste Atar El beyed est roulante
surtout sur la sebkha Chemchâm (du moins par temps sec).
Le soir nous devons quand même faire un peu de
mécanique ;
Manu a crevé deux fois, et n'a plus de roue de secours, et nous
nous avons un bruit dans la roue avant, en fait
il s'agit d'un roulement à resserrer. Après la
mécanique, une douche au puits
est bien agréable.
Mardi 18
octobre
Ce matin, après un long passage de sable mou, nous
arrivons à El Beyed et sommes accueillis par Yeslem Ould Bou
Aïlla le chef du campement.
Selon la coutume,
nous lui offrons quelques présents, (un
gros sac de riz, et un peu de thé.) Il nous invite
à
prendre le
thé sous sa khaima avec sa famille.
Le campement est composé d'une douzaine de famille soit entre
100 et 150 personnes. Cette année il n'a pas assez plu et
le puits est pratiquement à sec, le chef est donc obligé
de rationner l'eau : environ 20 litres par famille et par jour.
Hier Yeslem nous a doublé sur la piste, il revenait d'Atar
avec un taxi-brousse (Toyota 4x4), et ramenait l'instituteur qui doit
faire l'école pour les 25 enfants du campement. En France la
punition c'est Hasbrouk, ici cela doit être El Beyed.
Nous avons demandé à Yeslem s'il allait souvent à
Atar, il nous a répondu que oui, au moins 3 ou 4 fois par an !!!
En fait, il va acheter tous les produits de base pour le campement :
vêtements, farine, sucre, sel, thé, riz, piles, etc...
Ce soir
après le thé et la galette cuite dans le sable, et
mangé avec la famille (11 personnes) au frais devant la khaima,
les filles nous chantent des chansons et lancent leurs youyous
accompagnés d'un tamtam, en fait une bassine à l'envers.
Dommage, mais nous ne pouvons pas vous faire écouter !!!
Ce matin
Yeslem nous propose de nous faire
visiter les sites néolithiques de la région.
Nous visitons donc tout d'abord le petit musée qu'il
a organisé
dans une zeriba sur les conseils de Théodore Monod : bifaces,
pointes de flèches, hachetons, meules, pierres à faire le
feu ainsi que quelques objets traditionnels de la vie quotidienne.
Ensuite,
visite de la guelta (point d'eau
permanente), de la source d'eau salée, des gravures
rupestres, et en fin d'après -midi, après le passage de dunes
le reg aux bifaces
de Théodore Monod. Eh bien non vous
n'aurez pas le point GPS, il faudra demander à Yeslem qu'il vous
guide.
Après
avoir traversé
un cordon de dunes, nous arrivons sur un reg, où il y a environ
10 000 ans, des artisans façonnaient des outils en silex
(bifaces). Le plus incroyable c'est que malgré des ramassages
successifs il en reste encore des milliers. Ici on marche vraiment dans
la préhistoire.
Nous continuons
notre "route" vers Ouadane par la passe
de Thnâye.
A Tanouchert une oasis aux milieux des dunes, Claude et Sabrina donnent
une leçon
de "bagues" aux femmes du village, elles sont très
intéressées et apprennent vite.
Quelques kms après Tanouchert, des habitants de l'oasis de
Rgkeiwiya nous arrêtent. La batterie qu'ils utilisent pour la
radio du village est déchargée. Nous nous arrêtons
donc une petite heure, le temps de boire le thé et de recharger
leur batterie avec notre véhicule
Chinguetti,
ville historique du désert Mauritanien, située sur la
route des caravanes, fut même la 7ème ville sainte de
l'Islam. Située au pied de l'erg de Ouarane
classée
patrimoine mondial de l'Unesco, elle a été
partiellement désensablée en 2003.
On dénombre ici
une douzaine de bibliothèques familiales
privées où sont conservés des manuscrits
calligraphiés traitant des sciences, de la grammaire, et
de l'Islam, dont certains remontent au XI ème siècle.
Retour
à
Atar, par un
itinéraire sablonneux, des cordons de dunes viennent
mourir dans l'oued à sec qui nous sert de fil conducteur, puis
nous empruntons la fameuse passe
d'Amogiar
une piste difficile au milieu des djebels, mais quels paysages !
Merci au "Guide de la
Mauritanie au GPS" de Cyril RIBAS, sans qui nous
n'aurions pu effectuer ce circuit.
Lundi 24
octobre,
D'Atar, nous faisons un
petit crochet vers Ksar Torchane afin de
ramasser quelques stromatolites,
les plus vieux fossiles connus qui auraient environ 1 milliard
d'années.
Puis sur la route
goudronnée qui mène à
Nouakchott, la capitale du pays, nous nous arrêtons à
l'oasis de Terjit ; à l'ombre d'une faille dans le plateau,
l'eau suinte le long des parois rocheuses et il est possible de prendre
un bain dans un bassin en béton à l'ombre des
palmiers. L'endroit est enchanteur mais le coût pour y
accéder est abusif. (9 € pour deux)
Visages:
Dès notre
arrivée à Nouakchott, nous cherchons
tout de suite un cyber, car depuis notre entrée en Mauritanie
nous n'avons réussi à envoyer que deux messages.........A
Atar, il y a bien un cyber, mais pas de connection possible lors de
notre passage.
Nouakchott
la capitale du pays est à l'image des autres villes, sale et
poussiéreuse.
Sur les quelques
axes
goudronnés, il faut slalomer entre les nids
de poules et les autres axes ne sont que des pistes damées par
le passage continu des voitures.
Les voies sont tellement poussiéreuses et
jonchées de poubelles, que nous ne savons même plus s'il y
a du
goudron! ! Mais en tout cas elles font le bonheur des chèvres
qui
y trouvent leur nourriture.
Ici le code de la route est un lointain souvenir et les contrôles
techniques ne sont pas près d'exister !!!!!
Voitures sans phare,
sans
pare-chocs, ni pare brise, ni portière.
Bus dont il ne reste que quelques morceaux de carrosserie
rouillée. Les voitures ne sont pas toutes dans cet état
là mais en tout
cas les centaines de
taxis et camions ressemblent à çà.
Par contre, étant dans la
capitale, où sont basés les
ministères, les ambassades, les sièges de
sociétés étrangères,
les ONG, des dizaines de Mercedes ou 4x4 cuir dernier modèle
circulent en
permanence.
A propos de voitures,
savez-vous quel est le pays qui compte la plus
grande proportion de Mercedes ? Vous pensez bien sur à
l'Allemagne, Eh bien non il s'agit de la Mauritanie.
Que ce soit au Maroc ou
en Mauritanie les 4x4 sont bien souvent des
Toyota. Jusqu'à ma intenant les
(petits) pick-up 4x4
étaient des Toyota Hi-lux Afrique (2,8L, 90 cv comme les Prado),
il semblerait que maintenant ils soient détrônés
par les
mitsu L 200.
La circulation est totalement
anarchique : circulation à contre
sens, carrefours pris à l'envers, feux tricolores qui servent de
décoration, même les trottoirs ne sont pas sûrs, car
ils
servent de troisième voie lorsque les autres sont
encombrées ou permettent de couper les choux. Mais avec un
peu d'attention, tout se passe bien et dans la bonne humeur.
Nous profitons de
ces quelques jours de repos dans la capitale pour faire la mise
à jour du site, et envoyer quelques e-mails, faire quelques
courses*, visiter le
port de pêche, et faire nos visas pour
la Guinée Conakry. (En fait il ne s'agit pas de vrais visas,
mais d'un courrier qui demande aux autorités Guinéennes
de "bien vouloir nous faciliter le passage en nous accordant un visa de
30 jours" ainsi qu'un laisser- passer pour le véhicule.
Coût
total : 16 000 om = 45 €
Nous en profitons aussi
pour nous baigner sur l'une des plus longue
plage du monde, 600 km........
*à propos des
courses, il faut souvent réveiller les
vendeurs qui font la sieste sous ou sur les comptoirs. Je ne sais pas
si c'est à cause du ramadan, mais çà à
l'air d'être l'activité principale d'une partie de
la population.
A quelques dizaines
de kilomètres en direction de Rosso (frontière
Sénégalaise) les paysages changent. Le Sahara s'estompe
et fait place à une végétation de plus en plus
luxuriante.
Au dernier
contrôle avant Rosso, le policier nous demande un
petit cadeau de 15 € !!!! Après quelques compliments sur sa
personne et son pays, et quelques plaisanteries, nous lui faisons
cadeau d'un couteau multi lames chinois (1 €) et il nous sert la main et
nous souhaite bon voyage.
Arrivés à
Rosso, nous sommes immédiatement
assaillis par des pseudo- guides-changeurs-assureurs... après
avoir changé 100 € (65 OOO CFA)
Notre but est de nous
rendre au barrage de Diama, autre poste
frontière situé à environ à 100 km de
piste vers l'ouest. En effet, plus personne ne veut passer
par Rosso, car entre le prix du bac pour traverser le fleuve
Sénégal, (c'est lui qui sert de frontière entre la
Mauritanie et le Sénégal), les bakchichs qu'il faut
donner à la Police, et à la Douane des deux
côtés, il parait que c'est l'enfer !!! (dans Rosso pour
aller à Diama, prendre la piste qui part à l'ouest par la
station de taxi brousse
au WPT N 16° 30 903 W 15° 48 813). Après avoir
traversé une réserve ornithologique (on se croirait en
Camargue) nous arrivons au barrage de Diama. Les formalités de
sortie s'effectuent sans problème, (15 minutes). Pas de
contrôle des changes (pour Manu) leur coût 2500 Om = 7 €
à la police, 4000 Om = 11 € à la douane, et 500 Om = 1,5
€ pour la commune.
Péage du barrage
de Diama (payable dans toutes les monnaies)
4000 CFA = 6 €.
L'entrée au
Sénégal s'effectue de la même
façon, en 20 minutes, coût : 20 € à la
Police, et 7,5 € à la douane. (payable aussi en CFA)
METEO : sur la côte :
chaud
et humide, environ 30° le jour 25
° la nuit, et pas mal de vent.
Dans le
désert : chaud et sec, 35° 38° le jour,
25° à 30° la nuit. Lorsque nous roulons la chaleur ne
nous gêne pas trop car nous réglons la clim à
25° 28°.
ARGENT : carte de
crédit inutilisable. Change (dans la rue) 1 €
= 350 Om (ougouya mauritanien)
dépenses en
Mauritanie : 570 €
Quelques prix :
Internet de O,7 à 1,5 € de l'heure, GO
entre 0,60 à 0,70 € le litre, pain : 0,30 €. Sodas : O,50 €
camping : 6 € par
personne
SANTE : RAS
MECANIQUE : resserrage
d'un roulement AVG.
Consommation : sur
route 11 l, 13 l avec la clim et vent de face, en
tout terrain 15 l sur piste, et 18 l dans le sable avec la clim.
en tout deux
ensablements sans gravité.
BIVOUACS : libres
16 nuits, camping 7 nuits. En Mauritanie, les
bivouacs sont toujours très tranquilles, alors pourquoi aller
dans les campings souvent bruyants. Tout d'abord parce que cela nous
permet de refaire les pleins d'eau, de prendre de bonnes douches, de
laver le linge, mais aussi de rencontrer d'autres voyageurs pour
échanger des informations ou faire un bout de chemin ensemble.
Quelques bivouacs
possibles :
entre Nouadhibou et
Choum au KM 395 près du plus gros monolithe
d'Afrique WPT N 21° 13 630 W 13° 07 640
70 km après
Choum en direction d'Atar dans la verdure sous les
arbres WPT N 20° 44 935 W 13° 07 641
A Tiguent, environ 120 km Sud Nouakchott possibilité de
rejoindre
la mer par une bonne piste de 16 km,
point de la bifucation : WPT N 17° 10 430 W 16° 02 875
LES MOINS : la saleté des villes, les rabatteurs un peu
pénible à la frontière et à Atar
LES PLUS : paysages fantastiques, rencontres agréables
(Manu, Sabrina, Georges..), population sympathique et serviable,
Aucun problème de sécurité.
Contrôles fréquents mais bon enfant.
le 29 octobre 2005 : le voyage se poursuit à St Louis au
Sénégal
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